Dortoir d'Ode V - Veilthion S - Loky M

Ainsi me voila dans ma chambre... du moins ma chambre en temps normal. a ce jour je la partage avec deux autres personne. Ces deux autres personnes, deux humains, quel encadrement. Jamais je ne pourrais voir plus, cette fille n'est pas comme les autres qu'il m'eut été donné de voir au cours des années precedentes.
Peut etre l'autre humain repondant au nom de matsura sera, quant à lui, plus simple à vivre. Je dis cela car je n'ai pas encore eu l'occasion de faire sa connaissance. Quoi qu'il en soit il y a des etres biens differents de ce qui ce fait de plus simple... je parle de cette rencontre qui me parut des plus originales auquelles j'ai eu le droit. Crier, j'aimerais pouvoir crier l'injustice de ce monde, le fait d'etre encore en vie alors qu'elle ne l'est plus, je dois pourtant l'oublier.

Que les Dieux me tuent une bonne fois pour toute, je ne veux plus vivre dans ce monde, que je trépasse.

Heureusement je dis cela mais c'est généralement sous le coup de la peine et de la colère.Je me dirige alors vers mon lit. un lit simple mais douillet pourtant. Je n'épprouve pas le besoin de dormir certes mais il est vrai que j'aime me prélasser dans des endroits bizarres...Un bon lit, un cimetière, une cave, une forêt,... tant d'endroit ou il y a de la tranquilité...

AHHHHHH!!!

Crier, voila une des choses qui me permet de voir que je suis toujours en vie...

Heureusement que je suis seul.

Apres avoir murement reflechi, je vais peut etre me faire une autre idée de cette gamine... pour ce faire je vais peut etre essayer de ne pas lui faire peur cette fois ci.

Nyaaaahhh(dans un soulagement)

Pfff se lever d'un lit si bon... voila une chose bien difficile mais il le faut sinon je vais devoir supporter une mauvaise humeur de la part de cette fille...

Ah les humains je vous jure!...

Je me leve pourtant avec du mal... je n'ai pas envie de quitter ce lit...je me dirige vers la porte... je me sens vraiment seul ces derniers temps, il serait temps que je redonne quelques capsules à korkolen aussi.

Ah lala tant de chose a faire... sa ce vois que les cours vont bientot reprendre.

La nuit avait été dure, je n'ais dormis que très peu donc je n'étais point en forme. je n'étais pas du matin, surtout après la nuit que j'ai passé au bar avec Ode et Veiltion. Ce dernier m'avait dit que le laboratoire était a nouveau operationel soupir.
Enfin, malgré la presence de nouveau élèves, ils nous fallaient continuer nos experiences dans nos propre interets a tous les deux. Mon casque sur la tête, le volume assez fort je me dirigeais vers le dortoir de mon maitre et ami car nous devions reprendre nos travaux au plus vite, mais un problème se posait à moi : comment faire parvenir a Veiltion ma requete sans gener les autres ? Je n'avais qu'à esperer qu'il était seul dans la chambre soupir.
C'est à ce moment-là que je poussais la porte et je disais a mon maitre avec un ton calme et posé:

(Baille) bonjour soupir.

Je souhaitais que son reveil ne soit pas trop dur et brutal, car il était de mauvaise humeur au reveil

La nuit dernière j'avais bien précisé à Korkulen que le labo était ouvert. De ce fait je m'étais qu'assoupis durant toute la nuit. Un état second plus qu'un sommeil. Le matin pointait déjà ses premiers rayons quand je sortis de cet état de transe, dira-t-on. je me levais sans faire de bruit, je n'avais toujours pas ouvert les yeux. Le matin est assez dur, les morts que j'avais fait se ficherai vraiment de moi, je ne pouvais rien faire quand il s'agissait du réveil. Je me leva donc sans faire bruit pour ne réveiller personne. Je me dirigeais vers la salle de bain.
dans un petit râle je me vis dans le miroir:

C'est pas possible, passer une nuit dans un cimetière ne m'apporte rien mais passer une nuit dans un dortoir et me viola avec une gueule de bois...

Je sortis de la salle de bain après m'être passé un coup d'eau sur la figure. Lorsque je sortais de celle ci je vis que la porte était entrain de s'entrebâiller. La tête de Korkulen passa le seuil de cette dernière. Je le stoppa et le pressa de sortir. Je sortis à mon tour sans faire le moindre bruit et fermai la porte derrière moi pour ne pas réveiller qui que ce fusse. Je n'avais même pas pris la peine de vérifier si quelqu'un était réellement là. Je me tournais alors vers mon ami.

Eh bien tu es plus matinal qu'auparavant, c'est l'excitation de reprendre les recherches qui te motive ainsi?

En tenant ces paroles je me dirigeais machinalement en la direction du labo. Korkulen ne savait pas o{u le nouveau labo avait été implanter.

Je fus surpris par la rapidité de Veiltion, la fatigue ne semblait pas l'affecter, il emanait de lui une bonne humeur que je n'avais pas senti depuis très longtemps.

Veilthion-sama a écrit:: Eh bien tu es plus matinal qu'auparavant, c'est l'excitation de reprendre les recherches qui te motive ainsi?

Et il avait raison, le fait de reprendre les recherches me boostais, les cours sont barbant et sans interet à notre âge soupir. Donc ceci peux être considere comme une passion et une activite extrascolaire.

Soupir, t'es de bonne humeur c'est pas normal, et puis donne moi ma ration j'ai epuise mes reserves soupir.

Mais mon maitre était parti comme une fleche vers le nouvel emplacement du labo car la renovation a entierement changée l'acces de ce dernier. J'étais fatigué, mes deplacement étaient lents sans motivation aucune, en clair j'avais pas la foi de le suivre a cette vitesse. Mais au fond de moi, j'étais impatient de reprendre les manipulations ou autre tests en tout genre.
Je sortais de ma poche, une tablette de chocolat, mon peché mignon. Sachant que je n'avais pas mangé depuis le debut de l'expedition dans ce lycée d'humain, je craignais q'une chose à présent: que l'humaine a moitié folle repondant au nom de Ode vienne nous troublé ou même mettre un frein a nos recherches.
Soupir... ça recommence.

J'étais vraiment trop rapide pour Korkulen, une fois de plus il n'a pas dormi la nuit dernière supposais-je. Je ralentissais le pas, il fallait tout de même que je lui ouvre la voie. Je me mettais donc à sa sa hauteur, il était une tablette de chocolat à la main. Même si il est à moitié vampire il gardait encore certains gouts pour sa vie passée.

Soupir, t'es de bonne humeur c'est pas normal, et puis donne moi ma ration j'ai épuisé mes réserves soupir.

Eh ben il exagère tout de même, je sais que je suis pour lui un ami mais je ne pensais pas que j'étais une banque du sang.

Soupir... ça recommence.

Ça recommence? Mais de quoi ?

Je lui posais cette question, mais je savais que lui ne me dirait pas forcement la vérité. C'était ainsi depuis un moment déjà. Mais pourquoi soupirait-il tout le temps sans arrêt, je l'ignorais. Quand le l'ai connu il n'était pas être à soupirer. Une fois de plus me voilà son guide. Je ne trouve pas cela déplaisant. Je le mène donc devant la porte du nouveau laboratoire.

Veiltion devait surement ne plus supporter mes soupirs repetés de façon industrielle pour ainsi dire. Mais je me rendais compte aussi que je ne pouvais plus m'en passer c'était comme boire ou manger, c'était indispensable.
Je finissais ma tablette de chocolat, la musique à fond, puis je reflechissais a ce que Veiltion venait de me dire car c'était censé. Mon comportement avait changé je savais pourquoi mais souhaitais le garder pour moi pour le moment.

Tu n'as pas reveillé l'humaine ou qui que se soit d'autre ? personne ne doit être au courant de ce que nous faisons pour l'instant, d'accord ? soupir

Je fus pris d'un coup d'une douleur telle un couteau que l'on planterai dans ma chair la plus profonde. La cause en était evidente à mon sens et seul mon maitre qui tenait ma vie pour ainsi dire entre ses mains pouvait regler.

Vite, donne moi une capsule j'ai mal !!!

Sans crier gare, voila Korkulen entrain de se tordre. Je ne me demande pas ce qu'il a, je le sais pertinemment. je suis obligé de retourner dans ma chambre en urgence. Je n'ai pas le choix car je n'ai pas de capsules sur moi. J'arrive à ma porte, et l'ouvre dans un fracas avec le pied. J'ai pas trop l'habitude de le voir ainsi alors je me dépêche tout de même. La porte vient s'écraser dans un grand fracas contre le mur. Je vais à mon armoire et cherche de manière frénétique une pochette de sang. Par chance pour Korkulen, mon ami, j'en ai toujours une de rechange dans mon armoire. Déjà qu'il est pas très gros en temps normal ce pauvre bougre, alors n'imaginez pas quand ce genre de crises arrivent. Mes yeux n'ayant pas eu le temps de s'adapter à la pénombre de la chambre cherchent cette foutue pochette. J'avais oublié qu'elle était sous une chemise pour éviter qu'un jour un humain tombe dessus par hasard. Je me tournais tout même pour voir si je n'avais pas réveillé quelque chose de cette pièce. Oh et puis peu m'importe, la seule idée qui me venait en tête à ce moment là c'était de calmer les crises de mon ami. Je sortais de la chambre en claquant la porte de mon armoire et je ne sais plus si j'avais fermé la porte de la chambre. Je sentais mes yeux revinrent à la normale, dire qu'ils sont verts en temps normal et qu'ils sont couleur Bleu ayant des reflets argent et nacre en temps de fatigue et de stress ainsi que plein d'autres situations. Je revenais au près de Korkulen et lui tendais la pochette de sang. Je déclarais avec ce geste:

Tiens avale ça, ça va te remettre d'aplomb. Comme pour les débuts mais gardes en pour plus tard sait-on jamais. Je ne tiens pas forcément à te nourrir en intraveineuses.

Je lui tendis donc la pochette de mon sang. Puis Je pris Korkulen par l'épaule pour l'aider à marcher du moins sur quelques mètres s'il tenait encore debout. Une dose de sang trop importante en un coup n'était pas bonne idée à tester.

Nous nous rendons au laboratoire ainsi tu pourras te reposer.

[HRP] La suite est située dans le laboratoire.[HRP]

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