Bureau du Chef des surveillants => Dan Mac Cormick

Après avoir monté l'escalier luxueux qui se présente dans le hall, vous arrivez à un couloir où logent de nombreuses portes et sur l'une d'elle se dresse un écriteau où vous pouvez lire :

Citation :: Bureau privé n°9
Chef des surveillants
Dan Mac Cormick

La porte n'est jamais verrouillée mais gare si vous êtes pris en flagrant délit sans le consentement de Dan.

en entrant dans le pièce après le patron, je ne pu que constater ses gouts luxueux et élégants, cependant j'avais remarqué qu'il avai changé de ton et l'atmosphère changea après mes dernières paroles, ce qui ne me déplaiser pas de toous bien au contraire, *heu là il y a eu malentendu en ce qui concerne la chasse, je sai très bien où je suis et je ne vai pas m'amuser a tuer juste pour mon plaisir*

"je dois dire que vous avez des gouts très élengant, mais il faut qu'on règle un malentendu, quand je parlait de chasse c'est pour moi seulement réprimender les éléves et de les punir selon le réglement, de plus je ne vai pas me risquer à faire du désordre vu que mon travail consiste à garder un ordre dans cette établissement"

*j'espère que là il ma compris sinon j'ai un problème a regler*

"sans vouloir vous vexer Mr, mais il n'y a aucune raison de montrer votre aura meurtrière, ceci dit je doit dire qu'elle ne me fait rien, là où j'habitai vant je ressenter tous le temps des envies de tuer de la part des villageois. Ne vous en faite pas aucun humain ne sera de quel race je suis pour le bien de l'établissement"

je regardais la décoration de bureau de mon patron et vu que beaucoup de meuble étai ancien et devai couter cher ce qui m'indiquer que mon patron étai plus vieu que moi et de beaucoup,

"ce n'est rien j'irais directement à cette endroit pour me documenter"

*j'espère avoir un bureau moin remplie, je me sentirai à l'étroit là dedans, je vai devoir aussi surveiller mes paroles s'il me comprend pas ça risque de faire encore des malentendus, ce que je ne veu pas*, j'attendai qu'il aille s'assoir à son siège pour faire de même -politeese oblige- on se sent merveilleusement bien dans ses sièges; *le cuir ne me va pas du tous mais se siège est super confortable, je veu le même dans mon bureau*

Tenant donc la porte à son collègue, Dan se montrait des plus courtois à l'égard du lycan. Après l'entrée de ce dernier, le chef des surveillant ferma alors la porte après avoir sorti un petit carton qu'il accrocha à la poignée extérieur sur lequel il était donné de lire:

Citation :

Ne déranger sous aucun prétexte.

Ainsi les deux acolytes pouvaient disserter en toute liberté et énumérer en toute tranquillité les sujets délicats.
Assuré de leur sérénité présente et future, le vampire invita d'un geste cordial Simon à s'installer, après quoi, celui-ci prit parole.

"je dois dire que vous avez des gouts très élégants, mais il faut qu'on règle un malentendu, quand je parlais de chasse c'est pour moi seulement réprimander les élèves et de les punir selon le règlement, de plus je ne vais pas me risquer à faire du désordre vu que mon travail consiste à garder un ordre dans cette établissement"

Aux premiers mots du surveillant Dan hocha la tête en signe de gratitude. Il était vrai que la majore partie de ses possessions avaient une valeur inestimable. Il suffisait de regarder dans n'importe lequel des meubles vitrés pour y retrouver La louve capitoline que le buveur de sang affectionnait particulièrement ou bien encore Les Tétrarques, synonyme de pouvoir et d'usure patrie voir bien plus encore. Ainsi Plusieurs centaines d'objets en tout genre étaient présents. Authentique ou reproduction assidu ? Seul Dan sera en mesure de vous apporter sa réponse sur ces divers préciosités. Par la suite de son discours, Simon justifia alors ses propos précédents expriment ainsi qu'il voulait dissiper tout mal-entendu. Le vampire hocha alors une seconde fois la tête et prit place derrière son bureau en écoutant toujours avec attention les paroles de ce cher acolyte.

"sans vouloir vous vexer Mr, mais il n'y a aucune raison de montrer votre aura meurtrière, ceci dit je dois dire qu'elle ne me fait rien, là où j'habitais avant je ressentais tous le temps des envies de tuer de la part des villageois. Ne vous en faite pas aucun humain ne sera de quel race je suis pour le bien de l'établissement"

Son aura meurtrière disait-il, or en aucun cas le chef des surveillants n'avait pour but de vouloir intimider le nouveau venu, c'était juste une sorte de mise en garde pour lui faire comprendre qu'il devenait imprudent. De plus l'aura ne s'était pas faite meurtrière, non, elle en avait peut-être eut les allures mais ceci n'était dut qu'à l'âge de Dan qui lui faisait acquérir cette force grandissante et cette prospérité qui l'avait élevé à ce poste avec la plus grande des aisances. Cependant si les deux êtres étaient tout deux réunis en ce jour ce n'était pas pour faire causette mais pour faire adhérer totalement Simon au pensionnat en temps que surveillant à part entière. le vampire choisit donc de tirer un trai sur cette discussion afin de finir la validation en temps que membre du personnel.

- Bien mais à présent il faut en venir aux faits et voila des papiers qui sollicitent votre signatures.

Présentant des documents - au moins 15 pages - Dan procura un stylo à Simon et s'édressa une dernière fois à lui avant de le lasser prendre sa décision.

- Souhaitez vous en prendre connaissance et clôturer votre dossier plus tard ou bien décidez-vous de signer tout de suite ? Si je ne m'abuse vous ne semblez pas avoir l'habitude de remplir ce genre de bulletins et sachez que cela fait bien longtemps que le temps ne me taquine plus.

S'élançant en arrière, le dos de Dan rencontra rapidement le dossier de cuir matelassé de son siège. Ainsi posté, le chef des surveillants attendait la réponse du lycan tout en caressant encore et toujours sa précieuse écharpe rouge sang.

en voyant le signe de main de mon patron je prit place dans le fauteuil libre près du bureau, il était en cuir et très confortable. Je vis par la suite le dossier que dan me présentait afin d'officialiser ma place dans l'établissement comme surveillant, *pfft encore de la paperasse, ça gonfle en plus c'est un pavé son truc, bon je devrai peu être commencer à le lire*; je commençais donc à le lire avec attention pour ne rien omettre de subtile ou d'important

-Ne vous en faite pas même si je viens d'une foret je sai lire, écrire et remplir les dossiers concernant mon admission

je remplit donc son dossier avec la précision que je puisse faire; *c'est assez simple de remplir ce dossier*

-voilà c'est finis, j'ai signé là où il le fallait et remplit ce qu'il fallait ^^

je lui rends le dossier mais d'un coup mes oreilles bourdonnaient et me faisaient mal, je compris que la sonnerie avait sonné. ça prie un moment avant que mes oreilles reviennent à la normal; *ça fait mal cette saloperie de sonnerie, il faut vraiment que je m'y habitue*

-je suis désolé mais je doit partir, je pense que vous comprenez vus qu'on doit faire notre travail, je vais donc en cours accueillir les nouveaux arrivants

je me levai de mon siège et dan en fit au tant, nous nous dirigeons vers l'extérieur de son bureau et quand nous avons franchis la porte, dan me fit signe de partir devant car il devait fermer son bureau à clé, donc je partit en repensant à cette rencontre; *j'espère que j'ai assuré car sinon je suis dans de beau drap; je ne préfère même pas l'imaginer, mon baladeur me manque, faut que je montre l'exemple donc pas de musique pour l'instant*

[hrp/ avec l'accord de dan j'ai pu le faire bouger donc je décrète que ce RP est bel est bien finis /hrp]

Je marche dans le hall du pensionnat et observe les tapisseries au mur. Que de jolies scènes y sont représentées. Sur les portes je peux y lire différentes salles de classe. J’observe les élèves aller et venir dans ce hall. Beaucoup d’humains. Belles chairs tendres. Ça peut aller des petites filles menues aux grands jeunes hommes baraqués. Je sens la soif monter en moi. Je m’adosse contre un mur et place mon visage dans ma main droite, tentant d’oublier la soif de sang humain qui m’obsède. Il est vrai qu’ici je ne peux me permettre d’en croquer un. De ma main gauche je saisis la petite boite pleine de petites pilules ayant pour effet de calmer ma soif. Elles ont un gout de sang humain mais chimiquement très modifier. Je ne sais si je pourrai me contenter de cela. Malgré que je sois psychologue de ce côté, mon contrôle sur moi-même est bien faible depuis la mort Aaron. J’avale une pilule sans mal et ma soif descend lentement. Je dégage les cheveux de mes yeux, maintenant que ceci sont redevenus oranges. Je reprends alors ma marche tranquille. Mais il ne faut pas que j’oublie d’aller voir le chef des surveillants. On m’a dit qu’il est très bien pour expliquer le fonctionnement du pensionnat. J’en ai besoin. Si mes souvenirs sont bons, il se prénomme Mac Cormick. Je continue à avancer. Une petite humaine me rentre dedans. Ses cheveux blonds viennent chatouiller les narines. Quelle bonne odeur… Je me recule et met ma main sur mon nez.

- Gomen, gomen, gomen !!! >.<

S’excuse l’élève me faisant maintes révérences à la japonaise. L’effet de la pilule n’est pas à son maximum et ma soif remonte. Je me recule à environ trois mètre de le jeune fille.

- Ce n’est rien, ne t’inquiète pas.

La petite se rapproche de moi et saisit mon tailleur de ses deux mains et approche son visage du mien. Son odeur est si succulente. Tellement sucrée.

- Vous en êtes sure Madame ?! Je suis tellement désoléééééeee !!!

Je ne peux pas la pousser sinon la pauvre elle volera à l’autre bout du hall. Pourtant il faut que je m’en débarrasse.

- Ce n’est rien ! Ce n’est rien ! Aller, retourne en maintenant.

Elle me sourit, me lâche, refait une révérence puis s’en va. Enfin ! Je suis fière de moi, j’ai réussi à passer outre ma soif. Bon, d’accord la pilule m’a aidée mais c’est un bon début de ma thérapie. A ma gauche, je peux lire sur la porte :
Bureau privé n°9
Chef des surveillants
Dan Mac Cormick

Enfin trouvé ! J’espère que je ne dérange pas si jamais il est là. Je m’avance de la porte. Un homme très grand sort de celle-ci. Son regard m’a l’air animal. J’ai l’impression d’avoir déjà connu ce regard. Il y aurait-il des lycans ici ? A vrai dire, cela m’a l’air fort possible. Je l’observe s’en aller. Les filles le dévisagent avec envie. Les petites humaines aiment tous ce qui sort de l’ordinaire. Des petites rêveuses. Je me retourne vers la porte et toque. Espérant que Monsieur Mac Cormick y soit.

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