Identité
Nom: FRIDEBORG
Prénom: Ingrid
Âge: 25 en apparence pour 210 d’âge.
Date de Naissance: 17 Janvier 1800
Sexe: Féminin
Sexualité: Hétérosexuelle
Métier: Psychologue
Clan: Vampire
Lieu de Résidence: Chambre dans le pensionnat
Description
Caractère: Je suis plutôt d’un genre calme, même posé. J’hausse rarement le ton, uniquement quand l’on m’énerve vraiment (ce qui est très rare). Due à mon expérience personnelle, je sais faire la part des choses. J’ai ressens ce besoin d’aider mon prochain d’un point de vue psychologique car la plupart des personnes ont des mal être intérieurs, c’est pourquoi j’ai choisis ce métier.
Physique: Le mètre soixante-quinze, de taille moyenne. J’ai le visage fin et les yeux rouges due à ma nature mais ils virent souvent vers l’orange quand je suis calme, ce qui est à peu près tout le temps. J’ai les cheveux violets virant vers le rose. Je suis toujours habillée de beaux tailleurs lorsque je travaille, autrement j’aime bien m’habiller de façon chic, très noble, tirant vers le gothisme.
Histoire
Mon nom est d’origine scandinave signifiant « la protectrice », mon prénom de même origine qui signifie « la jeune cavalière » qui est également un prénom qu’on donnait à une Valkyrie, Ingrid Mabire, si mes souvenirs sont bons. Cela me correspond bien, comme dit précédemment j’aime aider mon prochain autrement dit protéger et je ne suis pas mauvaise cavalière.
J’ai vécu, jusqu’à ce que j’arrive dans ce pensionnat, en Norvège. Je suis issue d’une famille très modeste. Mon père et ma mère étaient de simples paysans dans les contrés reculées du pays. Je m’entendais très bien avec eux et je les aidais du mieux que je pouvais.
Analyser les comportements fut toujours mon passe-temps favoris. Mon père était très colérique, ma mère le vivait mal donc ce fut elle ma première patiente. La plupart de mes conseils eurent de bons effets sur son moral, je l’aidais à tenir en quelque sorte. Je pense que c’est grâce à cela que je trouva ma voie : devenir psychologue.
A l’époque, il existait déjà de grandes écoles de psychologie. Je quitta alors la maison familialle, au grand désarroi de mon père, pour suivre ma voie d’étudiante à Oslo avec l’espoir de devenir grande psychologue. Je réussis mes études avec succès je dois dire. Mes diplômes en poche, je retourna dans mon village natal. Ma mère était fière de ma réussite, mon père quant à lui m’ignorait totalement. Pour lui, même si je n’étais pas le jeune garçon souhaité, je devais être celle qui reprendrait les affaires. J’étais sans travail. Bien sur, je ne voulais plus être dans les champs avec père mais exercer ma profession. Hélas, la première ville était à plus de 30 kilomètres donc ouvrir mon propre cabinet fut exclu.
Au nord de mon village, à l’extérieur de celui-ci sur une petite colline, vivait le compte Aaron Wolfram. Il posta une annonce au village disant qu’il souhaitait obtenir un confident. Je ne réfléchis plus loin et me dirigea vers sa demeure. Grand manoir typique de ces années. Le jour où j’ai traversé la porte de son domaine, c’était un beau début d’été en l’an 1824. Je me souviens de ce jour très nettement. Il m’avait l’air d’avoir la cinquantaine, grand, brun, yeux noirs de tristesse, vêtu de noir également et une canne dans sa main droite. Il m’accueilli de façon très noble. Je n’avais pas encore entrepris de thérapie que cet homme me fascinait. L’envie de savoir tout sur lui me prenait. J’ai passé une heure à ses côtés. Il me disait que je lui plaisais bien, que je correspondais à ce qu’il recherchait. Je retournais chez lui les semaines suivantes. Les mois se succédèrent et je découvris de jour en jour plus sur ce grand noble, nous étions même devenus de bon amis. Il me payait très bien.
Hélas, en 1825, la peste atteint mon village, dont mes chers parents. Un beau jour au cœur de l’hiver, je suis allée chez Aaron, comme à mon habitude. Je me souviens qu’il était très sérieux dans son regard. Assis au salon, il me regarda droit dans les yeux. Il me dit.
- Me quitteras-tu un jour Ingrid ?
- Bien sur que non Monsieur, je suis votre confidente, jamais je ne vous trahirai.
Sur mes mots, il conclu l’entretient et m’invita à passer chez lui le lendemain. Ce lendemain-là, mes parents étaient au plus mal. N’importe-qui serait resté aux chevets de ses parents mais je ne voulais pas trahir ma parole et me rendis donc au domaine. Pour la première fois depuis le jour où j’ai rencontré cet homme, il était habillé de blanc. Ce que je trouva encore plus inhabituel fut ses yeux : rouges sang en cet après-midi. Il m’invita à m’asseoir sur mon fauteuil habituel au salon. Je m’exécuta et le regardais attentivement. Il s’assit délicatement à son tour.
- Ingrid, ma belle enfant, souhaites-tu rester à mes côtés pour l’éternité ? Dans la santé et la richesse ?
A ce moment-là je ne compris pas ce qu’il me demandait. Je répondis tout gentiment sans penser au sérieux même de sa question.
- Evidemment que je souhaite rester à vos côtés. Santé, je ne saurais dire car la peste est présente et ne saurait tarder pour arriver jusqu’à chez vous.
- Ne t’inquiète pas pour cela. Accepte cette offre et tu seras à jamais en excellente santé.
- Si seulement ce vous dites est vrai.
Cet à cet instant qu’il se leva de son fauteuil et s’approcha de moi, son visage tout près du mien. Je vis très nettement ses yeux rouges, ce qui m’impressionnait.
- Ingrid, ce que je vais te demander et ta réponse auront un impact sur ton futur.
Je déglutie. Je ne savais pas où me mettre. Aaron était de marbre.
- Je suis un vampire d’une longue lignée très renommée. J’ai la capacité de te laisser ta beauté éternelle, santé pure à toute saison et, de plus, tu vivras dans une richesse que seul je suis capable de t’offrir. Acceptes-tu ma proposition ? Bien sur, si tu refuses, tu seras priée de rester dans le secret de ma nature.
Tout ce bousculait dans ma tête. Pour la première fois, j’étais toute déboussolée. C’est alors que je pensais à mes parents. Je ne voulais pas connaître leur destin. Vivre de misère et mourir d’une maladie dans d’atroces souffrances. De plus, Aaron me passionnait toujours autant. Je souhaitais tout savoir de lui.
J’accepta. Il déposa ses lèvres dans mon coup et me mordis délicatement. Le processus était en , je ne pouvais reculer. Je ne regrette rien.
Le lendemain mes parents étaient décédés. Depuis, je vivais chez Aaron. Notre relation resta purement amicale. Aaron était un sang pur issu d’une grande lignée de vampires. J’étais, et suis encore aujourd’hui, très honorée d’avoir pu vivre à ses côtés. Je n’ai pas cessé mes activités et continuai à l’écouter.
Avril 2009, d’autres vampires sangs purs tapèrent à la porte de la demeure. C’était des ennemis d’Aaron qui souhaitaient sa fortune. Le noble m’ordonna de quitter les lieux rapidement afin d’éviter que cette nuit soit ma dernière. J’obéis et alla me cacher dans la forêt du domaine. Quelques heures plus tard, une fois que je vis les vampires partir, je retourna au près d’Aaron. Je le découvris mort dans son salon, pieu dans le cœur. Ma tristesse est encore aujourd’hui inconsolable. Dans le jardin, sous le cerisier en fleur préféré d’Aaron, je creusa sa tombe. Avant de l’enterrer, je pris sa chevalière et la mis à mon majeur gauche. Une close de son testament, dira-t-on, car un jour il me confit que si malheur devait lui arriver, je devais porter sa chevalière. Paix à son âme.
Depuis, je refis des études de psychologie en France pour me remettre à la page. Je vins au Japon il y a peu. Je découvris que le poste de psychologue était libre donc je me suis proposée. En espérant vous être d’une aide favorable à votre vie dans ce pensionnat.
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