Ode Varg [Validée]

Votre personnage

Nom: Varg
Prénom: Ode
Âge: 16 ans
Date de Naissance: 02/11/1994
Sexe: Féminin
Clan: Humaine
Redoublement: Un
Avez-vous sauté un ou plusieurs années d'études: Une



Caractère: De caractère très débrouillarde, cette petite dernière n'est pas de nature à se laisser marcher sur les pieds. Et si vous ne lui plaisez pas, vous en serrez bien vite averti. Fort maladroitement, certes, mais vous le serez ^^. Mais Ode ne sait pas encore que les vampires ainsi que les lycans n'existent pas que dans les histoires. C'est donc vers la spontanéité tout en étant très terre à terre que cette jeune fille se dicte ses propres règles. Mais bien que débrouillarde, elle aura beau se donner des airs de grande autant qu'elle le veut, il est impossible de savoir à l'avance si cette petite tête répondra gentillement ou de manière agressive à un signe d'attention de la part d'une tierce personne.
Mais vous serez averti que cette dernière ne pèse pas ses mots ! En gros c'est une petite boule de nerf qu'il faut savoir prendre bourrinement ou délicatement selon son humeur.
Bonne chance à ses futures victimes^^ euh... future connaissances.


Physique: Ayant traîné dans les ruelles sombres le long de son adolescence, Ode n'a pas vraiment l'allure d'une grande fille bien sage. Tirant une tête de déterrée comme à son habitude, celle-ci se donne des airs de blasée à tout bout de champ alors qu'il suffirait de lui sourire sans raison pour que sa journée s'illumine. De nature rousse aux yeux bleus, cette jeune fille à pour habitude de porter d'amples vêtements surmontés d'une grosse casquette ou d'une capuche la plus part du temps. Seulement, même si cela n'est pas autorisé, la jeune fille garde constamment un petit poignard sur elle et ne peut dormir sans son petit Koshi qui est son panda en peluche. XD je crois que je m'éloigne de la description physique pour décliner vers ses habitudes ><. Bon je me reconcentre. J'en était donc à sa description vestimentaire. Nous allons passer à sa taille. Ode doit mesurer environ 1m64 pour 51 kilos. Elle est donc bien en chair et a parfaitement conscience de son corps: c'est à dire, que si Ode voit une sortie d'égout, elle saura dessuite si elle arrive à y rentrer ou non. Fiuuu j'm'arrête là ^^

Histoire

Débauchée. Voila ce qu'est cette petite rouquine qui n'a connu que la rue et les échanges de coups. Mais attention ! il est question de désordre, oui ! mais Ode sait faire la part des choses. Et malgré son jeune âge, elle a vite appris à se plier aux règles de la vie. Ce qui veut dire, à son humble avis: "Cogne avant d'être cogner" seulement, nous prenons l'histoire à l'envers. Je vais donc vous faire un petit flash back de sa courte existence vécue afin de vous éclaircir sa situation actuelle.

On est donc l'un de ces soirs froids et enneigés du mois de novembre. Dure période pour les sans papiers. Dure périodes pour les parents d'Ode qui se voyaient forcés cette nuit glaciale, de se réfugier à l'abri d'un sapin; La mère entrain d'accoucher, perdant donc ses os. Mickaël et Nastasia avaient appelé un médecin quelques minutes au part avant mais celui-ci qui d'habitude ne trainait pas s'était mis plus qu'en retard, Le père d'Ode se doutait alors que la neige avait dut bloquer la route. Et c'est pour cela que ces deux personnes avaient choisi de se déplacer. Mais n'ayant pas de voitures, ils avaient décidé de partir à l'hôpital à pied. Quelle folie ! D'ailleurs à mis chemin, ils avaient dû par contrainte s'arrêter et le sang coulant, le père affolé ne sachait que faire et prit de panique par les hurlements de sa femme. Il choisit de s'élancer dans le désert blanc qui ne semblait pas avoir de fin, ici, à Coober Pedy ( en Australie ). Car malheureusement pour eux, si ils s'étaient retranchés dans cette ville, ce n'est pas par choix, mais uniquement parce qu'elle était très isolée de l'urbanisation et donc habitable ( c'est à dire, dans leur moyens financiers et légaux ). Cependant comme si le sort en avait décidé ainsi, la mère dut mettre au monde sa progéniture dans sa longue jupe; collant en laine retranchés sur ses bas jambes et teintés par son sang. L'enfant vit alors le jour dans un froid hivernal à glacer le sang. Puis au loin apparut une silhouette. Comme sortie d'une bande dessinée, cette silhouette se rapprocha, on la voyait se décortiquer en trois parties majeurs: un grand manteau, un grand chapeau et une petite mallette. Ce qui donnait à cette personne les allures de quelqu'un appartenant au monde de la médecine. Nastasia cria alors de toutes le plus fort qu'elle put, n'ayant même pas la force de relever la tête pour voir dans quel état était l'enfant. La silhouette qui à présent se révéla être un homme se mis à courir en sa direction. La mère de Ode rassurée ferma donc les yeux pour la dernière fois. Elle venait de succomber au froid mêlé à l'effort intensif que lui avait demandé l'accouchement. L'homme prit son pou et reconnu son décé, il ouvrit alors sa mallette et en sortir un petit scalpel désinfecté avec lequel il coupa le cordon qui joignait la défunte à son enfant ainsi qu'un bout de sa jupe, ne pouvant faire autrement, pour recueillir l'enfant ensanglanté. Puis il repartit sur ses traces qui le mena à sa voiture. Posant l'enfant sur le siège, il l'emmena à l'hôpital. Une fois là bas, il expliqua la situation:

Il avait reçu un appel qui semblait être urgent de la part de deux de ses patients. Il les connaissait bien, tout le monde se connaissait dans ce petit village. Il en était d'ailleurs le seul médecin. Bref, durant le coup de téléphone, Mickaël lui explique que ça ne va pas du tout, et que sa femme semblait ne pas tarder à accoucher, seulement, elle avait deux mois d'avance ! ce qui était dure à croire ! car ce cas là n'arrivait qu'une fois sur mille. Mais cela arrivait. Alors le médecin avait prit une mallette de premier soin au cas où et avait conduit rapidement jusqu'à ce que la neige le bloque. A ce moment là, il avait prit l'initiative de poursuivre la route à pied. C'est là qu'il entendit un cri déformé par la douleur et qu'il avait recueilli l'enfant. Plus tard, on retrouva la dépouille de son père congelé les yeux encore ouvert, il semblait être vidé de son sang et avoir eut une mort plutôt douloureuse; bras tendu vers l'avant comme si il avait rampé après avoir était torturé. Le médecin; Kevin, adopta alors l'enfant en lui donnant le nom de sa défunte femme. Ode.

Ode grandit alors comme une petite fille normale. Elle était maligne, rigolote, combattante, avait un fort esprit de compétition, inventive, menteuse, boudeuse, râleuse, joyeuse, cachotière, voleuse, farceuse et avait pas mal de tempérament. Seulement, Kevin l'avait élevé sans lui divulguer la moindre information sur la mort des parents de la fillettes. Jugeant qu'elle était trop petite. Ode était donc persuadé que cet homme n'était autre que son vrai père. Puis à ses 7 ans, le médecin fut muté au Japon, il s'y rendit donc avec sa petite protégé. Mais ne croulant pas sous l'or, ils n'eurent d'autre choix que de s'installer en banlieue. Et c'est ce qu'ils firent. C'est à ce moment là que la petite fillette sans histoire se créa des histoire. Ayant prit l'habitude que l'on lui cède tout, elle ne tolérait pas que les autres personnes la pousse sans s'excuser, ou qu'on la regarde sans lui faire un petit sourire. Oui, elle prenait tous ces geste pour une sorte d'agression volontaire. Ode accumula alors un haine contre la société qui ne faisait que s'aggraver. Elle qui petite réussissait tout, elle avait même sauté une classe, et était plus qu'ouverte à autrui, en venait à détester amèrement tout individu. Puis à ses 14ans, ses émotions déteignirent sur ses cours et elle redoubla une casse. Puis d'ailleurs, elle n'aimait pas le Japon. C'est vrai ! tout le monde était si bizarre et si misérable ! En Australie, tout le monde se connaissait et ça ne grouillait pas autant dans tous les coins. Mais ce que la petite Ode ne comprenait pas c'est se trouvait dans une banlieue. Cet endroit ou les êtres se retrouvaient par problème financiers ou légaux pour la majorité d'entre eux pour ne pas dire tous. Alors pour extérioriser sa colère, la gosse s'était choisit un repère: Le toit de l'hôpital dans lequel son père travaillait. Elle y allait dès qu'elle pouvait, s'efforçant à cet endroit de contempler le ciel et non la ville dégradée. Puis le soir des 16ans d'Ode, Kevin rentra un bulletin à la main s'exclamant qu'il avait trouvé l'endroit idéal pour sa fille adoré. un pensionnat à 99 km. Pour dire vrai, le médecin avait trouvé le prospectus trainant dans la boue et l'avait un peu arrangé. La jeune fille n'y mettant aucune objection, fit même un sourire par contentement de quitter son établissement qui à son gout était déplorablement équerrant. C'était donc décidé, Kevin envoya la demande d'admission de sa petite Ode et il reçu le bulletin d'inscription. Ode se retrouva donc dans ce pensionnat de cette façon. Mais après un mois passé, elle apprit que Kevin n'était pas son vrai père. Pour elle qui haïssait tout le monde mise à part son docteur, celui-ci venait de mettre un terme à l'admiration qu'elle lui avait confectionné. C'est donc en hurlant à Kevin qu'elle ne le reverrait plus jamais et balluchon par dessus l'épaule que la jeune fille disparu définitivement désertant le pensionnat par la même occasion.

D'ailleurs, le tuteur ne tenterait pas de la revoir car il connaissait bien sa petite protégé et devinait qu'à cet instant, il venait de la perdre.





Jusqu'à combien de lignes pouvez-vous faire: 60 au max

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Code BON

Bien le bonjour jeune élève, le pensionnat vous attend avec grande impatience.
Sachez qu'à daté de ce message, vous pouvez considérer qu'une carte de self vous a été remise ainsi que la clef de votre chambre qui se situe dans le premier couloir. Bon rp parmi nous