Votre personnage
Nom : Maestus
Prénom :Athemis
Âge Réel : 66 ans (ce n'est pas du tout fait exprès je vous jure)
Âge d'Apparence : 17 ans
Date de Naissance : 21 avril 1944
Sexe : femme
Clan : Lycan !
Redoublement : No
Avez-vous sauté un ou plusieurs années d'études : No
Description de votre personnage
Caractère: De nature plutôt mystérieuse, Je ne me plains pas du calme et l'ai bien souvent en compagnon. Celui-ci me fait voyager de par tous les bruits qu'il en découle, c'est vrai ! Seul le silence révèle un souffle insoupçonné, le bourdonnement des insectes, les rires lointains ... Preuve que le silence n'est jamais bien réel combien même sa définition est inexacte car seul le sourd est en mesure d'apporter une réponse des plus précises, le silence, c'est lorsque notre oreille est incapable d'entendre un son nous environnant. En gros, je refuse de croire ce qui s'impose à moi et suis doté d'une curiosité jamais étanchée.
Physique: Les cheveux gris et longs, les yeux sont aussi de cette couleur que j'aime. Ma peau pâle ne bronze pas au soleil, je ne sais moi même pas pourquoi. Allez savoir si ça tien à ma mutation, mais je mettrais plutôt cela sur le fait que je passe le plus clair du temps à l'hombre. Ma taille plutôt fine m'accomode et mes habits ne sont jamais amples, j'aime le contacte du tissu et me sens débile lorsqu'ils flottent.
Histoire
Journal Intime retranscrit.Le jour de 14-02-1961Je serai pendu demain matin, ma vie n'était pas faite pour ce château. C'est arrivé un soir de juin on donnait une fête, Lord et Lady présents; diamants, rubis et topaze également. Ça fera quatre lignes, dans les journaux. Je ne suis qu’un vulgaire assassin, un vagabond indigne de ce château. A l'aube de ce jour maudit j'avais volé la vie à l'être qui s'était approprié celle de mon petit frère. Son crime avait éveillé un instinct sans précédent chez moi car Clovis avait pour handicap d'être non voyant. Alors que j'attendais patiemment dans ma cellule, cette nuit chaude, ma dernière lune, un boucan se rapprocha. Je pus alors discerner dans le noir mais à la lueur du satellite, une masse imposante qui se frayait un chemin parmi des gardes de plus en plus armés. Ce courage, je ne le comprends pas, à mon avis, les hommes en armés étaient plus pétrifiés qu'autre chose.
La soirée du 14-02-1961Peu à peu la masse géante s'approchait de ma prison temporaire. Prise d'effroi en décelant qu'il s'agissait d'un loup-garou comme dans les comptes, en temps normal je me serais blotti au plus loin des barreaux mais là, la mort ne me faisait plus peur. Combien même je préférais mourir par ces griffes impressionnantes qu'en publique devant ses diables habillés de soie. Ce qui suivit fut des plus étonnant, le lycan s'approcha de la cage et me regarda d'un œil appétissant. A cet instant je cru comprendre qu'il ne désirait pas me manger et cela conforta ma frayeur de départ. Pliant alors d'un coup de griffe les bouts de fer consolidé qui s'apparentaient à des cure-dents face à sa force destructrice, il brisa ma pseudo-protection. Je commença à reculer sans le lâcher de mes yeux affolés. Avec un sourire il s'approcha donc de moi et commença par me porter un coup sanguinolent comme pour dicter des règles. Je ne devais pas me rebeller sinon ce serait pire, voila le message. Il me plaqua ensuite contre le mur glaciale de ma pénitence et me fit une lèche sur le bras.
La nuit du 14-02-1961A ce moment là le reste de la garde alertée accourut. Moi en état de choque j'étais restée figée. Le lycan un peu chatouilleux décida alors de se débarrasser une fois pour toutes des hommes armés. Il me lâcha donc et prit quelques minutes pour s'empiffrer des joyeux lurons qui s'offraient à lui. Prise de panique, je compris alors que c'était maintenant ou jamais. Je me mise à quatre pattes et constata alors la marre de sang qui s'était créée suite au carnage. Sanglotant en silence moi qui jamais n'avait connu pareilles circonstances, je devais avancer et je sentais cette obligation de fuir s'imposer d'elle même. Attrapant le premier cadavre encore chaud que je trouvais, je me dissimula plus ou moins bien derrière pour prendre le chemin de la sorti. Et là le miracle se produit, sous la paume de mes mains éraflées, je trouva de l'herbe.
Le matin du 15-02-1961Après m'être relever je courus alors le plus loin possible ! Mon cœur battait la chamade et je n'entendait plus que mon souffle. Celui-ci se faisait incontrôlable et insupportable. Emballé par l'adrénaline, je n'arrivait plus à répondre de moi-même, j'étais totalement perdu. Le lycan ne m'avait pas suivit, sans doute s'était-il repu de son buffet. Je poussa un cri pour tenter de me soulager mais rien y faisait. Doucement je leva alors la tête en direction du ciel et je pus voir l'aube se lever. J'étais libre.
La nuit du 15-02-1961Cette nuit là aussi la pleine lune se donnait en spectacle mais ce soir, ça allait être différent. J'avais trouvé refuge dans une cabane de pêcheur au bord d'un lac. Pour la première fois je lutta alors de tout mon être contre ce loup qui prenait peu à peu possession de mon corps et que je ne pouvais repousser réellement. J'avais peur, qu'est-ce que j'allais devenir ? Des crocs proéminents prirent place, mes ongles s'allongèrent pour donner lieux à des griffes et je sentais ce changement, je le ressentais, ça me tiraillait comme jamais. Sans compter de mes sens qui se mélangèrent en m'affublant un terrible mal de crâne, j'avais l'impression que ma vue se déformait ... je devenais ... un monstre.
L'année 1969Les années passées, j'avais cherché à étudier cet évènement, celui qui avait donné un tournant à ma vie. Enchaînant les études, je m'adaptait à chaque époque sans la moindre difficulté. Au contraire, je dirais même que cela m'aidait d'avancer plutôt que de rester sur ce sombre passé. Je me mise alors à étudier les êtres vivants sous toute leur formes mais par dessus tout, l'homme était mon terrain de jeu préféré. Que cela soit légal ou non, seule ou en équipe, dans un cadre scolaire ou dans le jardin du voisin, j'examinais, je disséquais, j'occultais. Ma passion semblait ne connaître aucune limite. Mon savoir fut peu à peu reconnu de mon entourage et c'est ainsi que j'ai participé au projet Troxin 2-4-5 [gaz capable de transformer les morts en zombis. Il était l'objet de recherche de l'armé] ainsi qu'au PIPT [abréviation de Parasitic Intention Plant Trooper. Arme organique de synthèse capable de parasitage].
Le 27-08-1990Après avoir vagabondé dans tout le globe, j'ai décidé de reprendre mes études sur le corps humain de façon personnelle. Quoi de plus adéquat qu'un pensionnat ... °..°
Hors RPG
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